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Bons résultats pour le dépistage du cancer du côlon
Un programme de dépistage du cancer du côlon en Angleterre est en bonne voie pour réduire les décès d'un sixième, «la BBC a rapporté. L'histoire continue à dire, cependant, que l'on craint "que le programme manque de tumeurs dans certaines parties du côlon».
Cette histoire est basée sur l'analyse de la première ronde du Programme de l'Angleterre de dépistage du cancer du côlon, ce qui a été introduit en 2006. Les programmes de dépistage sont conçus pour tester les signes d'une maladie chez les personnes sans symptômes. Ils peuvent souvent détecter les maladies tôt, permettant un traitement à accorder à un stade où il est plus susceptible d'être efficace à l'amélioration des résultats et l'abaissement du risque de décès. Le programme de dépistage invite les gens âgés entre 60 et 69 à participer, en leur donnant des kits de prélèvement à domicile matières fécales qui peuvent être affichées à un laboratoire pour vérifier les traces de sang. Ceux qui dépistage positif à ce stade sont ensuite invités à subir d'autres tests de diagnostic.
À ce jour, le programme a invité environ 2 millions de personnes de participer, avec environ la moitié d'accepter et de retourner un échantillon. Les résultats de l'analyse suggèrent que si les premiers résultats sont maintenus, le programme de dépistage permettra d'atteindre la réduction prévue de 16% dans l'ensemble des décès par cancer du côlon.
D'où vient l'histoire?
L'étude a été réalisée par des chercheurs de l'Université de Nottingham, University College de Londres et des centres de dépistage du cancer du côlon à travers le Royaume-Uni. Les auteurs ne précisent pas toutes les sources de financement, mais disent que leur recherche n'a pas été commandé.
L'étude a été publiée dans l'intestin par des pairs revue médicale.
La BBC a rapporté sur cette étude de façon appropriée, bien que les manchettes disant que le programme "ne réduire la mortalité" peut-être prématuré, tant que la recherche n'a pas encore examiné l'impact du programme de dépistage relativement nouvelle pourrait avoir sur les décès dus au cancer du côlon. L'histoire des nouvelles ne passer à préciser que le programme est "en bonne voie pour réduire la mortalité" sur la base des résultats de l'1.000.000 premiers participants.
Quel type de recherche était-ce?
Cela a été un rapport sur l'absorption et les premiers résultats du programme de l'Angleterre de dépistage du cancer du côlon présenté par le ministère de la Santé en 2006. Des recherches antérieures ont indiqué que l'introduction d'un programme de dépistage pourrait réduire les décès par cancer du côlon de 16% chez les personnes invitées à participer au programme, et de 25% parmi ceux qui acceptent leur invitation et participer au programme. Cette recherche visait à comparer l'absorption et les résultats de ces estimations.
Le cancer du côlon est la deuxième cause de décès par cancer au Royaume-Uni, avec 16.000 décès par an. Seulement 50% des personnes diagnostiquées sont encore en vie cinq ans après leur diagnostic, en partie due à la phase tardive de la maladie est généralement diagnostiquée. La détection précoce des cancers permet généralement plus d'options pour les traiter, et les programmes de dépistage qui augmentent la proportion de cancers détectés tôt peut améliorer la survie. Ainsi, il est important de surveiller continuellement la réussite des programmes de dépistage, à la fois en termes de la façon dont ils encouragent les groupes à risque d'être contrôlé et dans le nombre de vies qu'ils épargnent.
Qu'est-ce que la recherche implique?
Le programme a utilisé l'application nationale de la santé et des services d'infrastructure système pour identifier les personnes admissibles au programme de dépistage. Environ 80% des cas de cancer du côlon sont les personnes âgées de 60 ans et plus, et si le programme de dépistage a été destiné aux hommes et aux femmes âgés de 60 à 69 ans vieux qui ont été enregistrés avec un médecin généraliste. Ils ont été invités à participer au programme au moment de leur anniversaire et tous les deux ans jusqu'à ce qu'ils atteignent l'âge de 70 ans.
Le programme de dépistage du cancer du côlon utilise un test appelé «gaïac de sang occulte fécal», qui recherche la présence de sang dans un des échantillons de fèces. Dans le cadre du processus de dépistage, les invités reçoivent une lettre décrivant le processus de dépistage, suivi par une trousse de prélèvement à domicile, qu'ils utilisent ensuite retourner par la poste au hub programme. Le kit contient six fenêtres, et les participants sont invités à prendre deux petits échantillons fécaux de trois selles séparées et les placer dans les fenêtres. Les kits sont ensuite retournés par courrier, et sont analysés pour détecter des saignements au niveau du côlon. Les participants de cet écran positifs pour le sang dans leurs selles sont invités à assister à un rendez-vous de suivi, où ils seront offerts d'autres tests de diagnostic, généralement une coloscopie (où une petite caméra sur un tube mince et flexible est utilisé pour examiner l'intérieur du côlon ). Dans les cas limites que certains participants ont également demandé de fournir un autre ensemble d'échantillons.
Entre Juillet 2006 et Octobre 2008, le programme a envoyé 2,1 millions d'invitations à y participer. Les chercheurs ont analysé combien de ces invités ont accepté l'invitation et ont participé au programme, et comment l'absorption varie selon le code postal par exemple les secteurs. Code postal et les données démographiques ont été utilisées pour analyser les tendances dans l'absorption, et d'identifier les facteurs comme le statut social qui sont associés à la participation au programme de dépistage.
Quels sont les résultats de base?
Lorsque les chercheurs ont étudié l'absorption, ils ont constaté que:
52,0% des personnes invitées retourné kits de test (1,08 millions).
Il y avait une différence significative de l'absorption entre les hommes et les femmes, 49,6% des hommes invités, comparativement à 54,4% des femmes invitées.
Il y avait une différence significative de l'absorption entre les groupes socio-économiques, avec une absorption de 61,4% dans le groupe le moins privés, comparativement à 41,7% dans le groupe le plus défavorisé.
L'absorption est le plus élevé dans le Nord-Est les plus bas et à Londres. Cette tendance s'est maintenue entre les sexes et entre les groupes socio-économiques.
Lorsque les chercheurs ont étudié les résultats des tests de dépistage, ils ont constaté que:
2% des participants avaient un résultat positif (anormal) pour le sang dans leurs selles.
Il y avait une différence significative dans la proportion de participants retournant un test positif entre les sexes, avec 2,5% des hommes ayant un test positif, comparativement à 1,5% des femmes.
De ceux qui reviennent d'un test positif, 94% ont assisté à un rendez-vous de suivi dans un centre spécialisé pour recevoir leurs résultats de test et être invités à subir des tests diagnostiques complémentaires.
Parmi les 94% assister à un rendez-vous de suivi, 83% ont opté pour subir les examens complémentaires; 7,6% des participants étaient réputés ne pas avoir besoin de tests supplémentaires, et de 3,7% a décidé de ne pas participer.
Lorsque les chercheurs ont étudié les résultats des autres tests diagnostiques, ils ont constaté que:
Parmi les participants ayant retourné des tests de dépistage anormal, 98,1% ont reçu une coloscopie comme le premier test de diagnostic.
10,1% des participants ont été diagnostiqués comme ayant un cancer du côlon; 11,6% d'hommes et de 7,8% des femmes.
Un autre 12% des hommes et 6,2% des femmes ont été trouvés à avoir adénomes à haut risque, un type de tumeur bénigne qui peut devenir cancéreuse. Ils ont été invités à subir un autre coloscopie dans un an, selon les directives de surveillance de dépistage.
Un autre 19,3% d'hommes et 14,6% des femmes ont été trouvés à avoir adénomes à risque intermédiaire, et ont été invités à subir un autre coloscopie dans trois ans, conformément aux directives de surveillance.
Au total, 43% des hommes et 29% des femmes qui a retourné un résultat de dépistage positif ont été trouvés à avoir le cancer du côlon ou de cellules précancéreuses ou nécessitant un traitement ou d'une surveillance étroite.
Parmi les cancers identifiés par un test de dépistage positif et d'autres tests de diagnostic:
71,3% des cancers étaient des polypes potentiellement curable ou de maladie à un stade précoce.
77,3% étaient du côté gauche, et 14,3% étaient du côté droit, ce qui était une proportion plus faible de cancers du côté droit que prévu. Cancers de l'intestin du côté droit ont tendance à être plus grandes et à un stade plus avancé avant de provoquer aucun symptôme. Un programme de dépistage qui pourrait les détecter précocement pourraient potentiellement améliorer les résultats pour ces patients. Les chercheurs disent que ce résultat peut être parce que du côté droit tumeurs doivent être plus grands que ceux sur le côté gauche avant de produire suffisamment de sang pour être détecté par ce test.
Comment les chercheurs à interpréter les résultats?
Les chercheurs disent que la plupart de leurs résultats sont en ligne avec les projets pilotes précédents et les objectifs fixés au début du programme de dépistage. Toutefois, les différences régionales dans l'absorption et le plus faible pourcentage de cancers décelés sur le côté droit étaient inattendus. Ils disent qu'il n'est pas clair à ce stade si le faible nombre de cancers du côté droit sont détectés grâce à la technique de dépistage ou de l'évolution naturelle de la maladie.
Conclusion
Cette analyse d'un programme de dépistage relativement nouvelle démontre que le programme a été efficace dans la détection des cancers du côlon à un stade précoce. Cela est extrêmement important dans cette maladie, comme en l'absence d'un programme de dépistage efficace la plupart des cas ne seraient pas diagnostiquées jusqu'à ce qu'ils aient considérablement progressé. A ce stade, le traitement devient plus difficile, et la survie est moins probable que ces cas diagnostiqués à un stade précoce.
Les chercheurs disent que l'absorption du programme en dehors de Londres a été très bonne, et élevé selon les normes internationales. L'étude a également révélé des variations inattendues de la participation dans toutes les régions et les niveaux socio-économiques. La connaissance de ces variations est essentielle, car elle permet aux administrateurs de programme à modifier leurs techniques de recrutement et d'invitation afin de s'assurer que plus de gens participent au programme. Par exemple, il pourrait permettre la publicité ciblée dans les régions à faible absorption ou plusieurs façons favorables pour contacter les groupes ciblés.
Cette recherche présente un instantané de la façon dont les premières années du programme de dépistage ont progressé, et un suivi sera nécessaire pour déterminer si le nouveau programme de dépistage a prévu à plus long terme l'impact sur les décès dus au cancer du côlon. De plus, ce fut l'analyse du premier tour du programme, qui a été conçu pour détecter les cas qui existent déjà dans la population. D'autres tours aura pour objectif de détecter de nouveaux cas, alors il n'est pas encore clair si le programme sera efficace à cette fin ainsi.
Les programmes de dépistage sont grandes, potentiellement coûteux et peuvent être difficiles à gérer. Il est donc extrêmement important de s'assurer que les programmes ont un impact sur le nombre de cas de maladie a été détecté et améliorer les résultats du traitement ultérieur. Bien que le dépistage de masse peut être coûteux et lourds en ressources, il convient de rappeler que le coût des programmes bien conçus et efficaces peuvent être compensés par la détection précoce des maladies qui sont difficiles, et encore plus coûteux, pour traiter à des stades ultérieurs.
Les programmes de dépistage sont complexes à évaluer, mais cette première série de résultats du programme de dépistage indiquent que le programme de l'Angleterre du cancer intestinal Le dépistage est la détection d'un nombre plus élevé de cancers du côlon de stade précoce que ce qui serait détectée autrement. Dans le temps, nous pouvons voir si cela se traduit par moins de morts et de meilleurs résultats sur le long terme.
Un programme de dépistage du cancer du côlon en Angleterre est en bonne voie pour réduire les décès d'un sixième, «la BBC a rapporté. L'histoire continue à dire, cependant, que l'on craint "que le programme manque de tumeurs dans certaines parties du côlon».
Cette histoire est basée sur l'analyse de la première ronde du Programme de l'Angleterre de dépistage du cancer du côlon, ce qui a été introduit en 2006. Les programmes de dépistage sont conçus pour tester les signes d'une maladie chez les personnes sans symptômes. Ils peuvent souvent détecter les maladies tôt, permettant un traitement à accorder à un stade où il est plus susceptible d'être efficace à l'amélioration des résultats et l'abaissement du risque de décès. Le programme de dépistage invite les gens âgés entre 60 et 69 à participer, en leur donnant des kits de prélèvement à domicile matières fécales qui peuvent être affichées à un laboratoire pour vérifier les traces de sang. Ceux qui dépistage positif à ce stade sont ensuite invités à subir d'autres tests de diagnostic.
À ce jour, le programme a invité environ 2 millions de personnes de participer, avec environ la moitié d'accepter et de retourner un échantillon. Les résultats de l'analyse suggèrent que si les premiers résultats sont maintenus, le programme de dépistage permettra d'atteindre la réduction prévue de 16% dans l'ensemble des décès par cancer du côlon.
D'où vient l'histoire?
L'étude a été réalisée par des chercheurs de l'Université de Nottingham, University College de Londres et des centres de dépistage du cancer du côlon à travers le Royaume-Uni. Les auteurs ne précisent pas toutes les sources de financement, mais disent que leur recherche n'a pas été commandé.
L'étude a été publiée dans l'intestin par des pairs revue médicale.
La BBC a rapporté sur cette étude de façon appropriée, bien que les manchettes disant que le programme "ne réduire la mortalité" peut-être prématuré, tant que la recherche n'a pas encore examiné l'impact du programme de dépistage relativement nouvelle pourrait avoir sur les décès dus au cancer du côlon. L'histoire des nouvelles ne passer à préciser que le programme est "en bonne voie pour réduire la mortalité" sur la base des résultats de l'1.000.000 premiers participants.
Quel type de recherche était-ce?
Cela a été un rapport sur l'absorption et les premiers résultats du programme de l'Angleterre de dépistage du cancer du côlon présenté par le ministère de la Santé en 2006. Des recherches antérieures ont indiqué que l'introduction d'un programme de dépistage pourrait réduire les décès par cancer du côlon de 16% chez les personnes invitées à participer au programme, et de 25% parmi ceux qui acceptent leur invitation et participer au programme. Cette recherche visait à comparer l'absorption et les résultats de ces estimations.
Le cancer du côlon est la deuxième cause de décès par cancer au Royaume-Uni, avec 16.000 décès par an. Seulement 50% des personnes diagnostiquées sont encore en vie cinq ans après leur diagnostic, en partie due à la phase tardive de la maladie est généralement diagnostiquée. La détection précoce des cancers permet généralement plus d'options pour les traiter, et les programmes de dépistage qui augmentent la proportion de cancers détectés tôt peut améliorer la survie. Ainsi, il est important de surveiller continuellement la réussite des programmes de dépistage, à la fois en termes de la façon dont ils encouragent les groupes à risque d'être contrôlé et dans le nombre de vies qu'ils épargnent.
Qu'est-ce que la recherche implique?
Le programme a utilisé l'application nationale de la santé et des services d'infrastructure système pour identifier les personnes admissibles au programme de dépistage. Environ 80% des cas de cancer du côlon sont les personnes âgées de 60 ans et plus, et si le programme de dépistage a été destiné aux hommes et aux femmes âgés de 60 à 69 ans vieux qui ont été enregistrés avec un médecin généraliste. Ils ont été invités à participer au programme au moment de leur anniversaire et tous les deux ans jusqu'à ce qu'ils atteignent l'âge de 70 ans.
Le programme de dépistage du cancer du côlon utilise un test appelé «gaïac de sang occulte fécal», qui recherche la présence de sang dans un des échantillons de fèces. Dans le cadre du processus de dépistage, les invités reçoivent une lettre décrivant le processus de dépistage, suivi par une trousse de prélèvement à domicile, qu'ils utilisent ensuite retourner par la poste au hub programme. Le kit contient six fenêtres, et les participants sont invités à prendre deux petits échantillons fécaux de trois selles séparées et les placer dans les fenêtres. Les kits sont ensuite retournés par courrier, et sont analysés pour détecter des saignements au niveau du côlon. Les participants de cet écran positifs pour le sang dans leurs selles sont invités à assister à un rendez-vous de suivi, où ils seront offerts d'autres tests de diagnostic, généralement une coloscopie (où une petite caméra sur un tube mince et flexible est utilisé pour examiner l'intérieur du côlon ). Dans les cas limites que certains participants ont également demandé de fournir un autre ensemble d'échantillons.
Entre Juillet 2006 et Octobre 2008, le programme a envoyé 2,1 millions d'invitations à y participer. Les chercheurs ont analysé combien de ces invités ont accepté l'invitation et ont participé au programme, et comment l'absorption varie selon le code postal par exemple les secteurs. Code postal et les données démographiques ont été utilisées pour analyser les tendances dans l'absorption, et d'identifier les facteurs comme le statut social qui sont associés à la participation au programme de dépistage.
Quels sont les résultats de base?
Lorsque les chercheurs ont étudié l'absorption, ils ont constaté que:
52,0% des personnes invitées retourné kits de test (1,08 millions).
Il y avait une différence significative de l'absorption entre les hommes et les femmes, 49,6% des hommes invités, comparativement à 54,4% des femmes invitées.
Il y avait une différence significative de l'absorption entre les groupes socio-économiques, avec une absorption de 61,4% dans le groupe le moins privés, comparativement à 41,7% dans le groupe le plus défavorisé.
L'absorption est le plus élevé dans le Nord-Est les plus bas et à Londres. Cette tendance s'est maintenue entre les sexes et entre les groupes socio-économiques.
Lorsque les chercheurs ont étudié les résultats des tests de dépistage, ils ont constaté que:
2% des participants avaient un résultat positif (anormal) pour le sang dans leurs selles.
Il y avait une différence significative dans la proportion de participants retournant un test positif entre les sexes, avec 2,5% des hommes ayant un test positif, comparativement à 1,5% des femmes.
De ceux qui reviennent d'un test positif, 94% ont assisté à un rendez-vous de suivi dans un centre spécialisé pour recevoir leurs résultats de test et être invités à subir des tests diagnostiques complémentaires.
Parmi les 94% assister à un rendez-vous de suivi, 83% ont opté pour subir les examens complémentaires; 7,6% des participants étaient réputés ne pas avoir besoin de tests supplémentaires, et de 3,7% a décidé de ne pas participer.
Lorsque les chercheurs ont étudié les résultats des autres tests diagnostiques, ils ont constaté que:
Parmi les participants ayant retourné des tests de dépistage anormal, 98,1% ont reçu une coloscopie comme le premier test de diagnostic.
10,1% des participants ont été diagnostiqués comme ayant un cancer du côlon; 11,6% d'hommes et de 7,8% des femmes.
Un autre 12% des hommes et 6,2% des femmes ont été trouvés à avoir adénomes à haut risque, un type de tumeur bénigne qui peut devenir cancéreuse. Ils ont été invités à subir un autre coloscopie dans un an, selon les directives de surveillance de dépistage.
Un autre 19,3% d'hommes et 14,6% des femmes ont été trouvés à avoir adénomes à risque intermédiaire, et ont été invités à subir un autre coloscopie dans trois ans, conformément aux directives de surveillance.
Au total, 43% des hommes et 29% des femmes qui a retourné un résultat de dépistage positif ont été trouvés à avoir le cancer du côlon ou de cellules précancéreuses ou nécessitant un traitement ou d'une surveillance étroite.
Parmi les cancers identifiés par un test de dépistage positif et d'autres tests de diagnostic:
71,3% des cancers étaient des polypes potentiellement curable ou de maladie à un stade précoce.
77,3% étaient du côté gauche, et 14,3% étaient du côté droit, ce qui était une proportion plus faible de cancers du côté droit que prévu. Cancers de l'intestin du côté droit ont tendance à être plus grandes et à un stade plus avancé avant de provoquer aucun symptôme. Un programme de dépistage qui pourrait les détecter précocement pourraient potentiellement améliorer les résultats pour ces patients. Les chercheurs disent que ce résultat peut être parce que du côté droit tumeurs doivent être plus grands que ceux sur le côté gauche avant de produire suffisamment de sang pour être détecté par ce test.
Comment les chercheurs à interpréter les résultats?
Les chercheurs disent que la plupart de leurs résultats sont en ligne avec les projets pilotes précédents et les objectifs fixés au début du programme de dépistage. Toutefois, les différences régionales dans l'absorption et le plus faible pourcentage de cancers décelés sur le côté droit étaient inattendus. Ils disent qu'il n'est pas clair à ce stade si le faible nombre de cancers du côté droit sont détectés grâce à la technique de dépistage ou de l'évolution naturelle de la maladie.
Conclusion
Cette analyse d'un programme de dépistage relativement nouvelle démontre que le programme a été efficace dans la détection des cancers du côlon à un stade précoce. Cela est extrêmement important dans cette maladie, comme en l'absence d'un programme de dépistage efficace la plupart des cas ne seraient pas diagnostiquées jusqu'à ce qu'ils aient considérablement progressé. A ce stade, le traitement devient plus difficile, et la survie est moins probable que ces cas diagnostiqués à un stade précoce.
Les chercheurs disent que l'absorption du programme en dehors de Londres a été très bonne, et élevé selon les normes internationales. L'étude a également révélé des variations inattendues de la participation dans toutes les régions et les niveaux socio-économiques. La connaissance de ces variations est essentielle, car elle permet aux administrateurs de programme à modifier leurs techniques de recrutement et d'invitation afin de s'assurer que plus de gens participent au programme. Par exemple, il pourrait permettre la publicité ciblée dans les régions à faible absorption ou plusieurs façons favorables pour contacter les groupes ciblés.
Cette recherche présente un instantané de la façon dont les premières années du programme de dépistage ont progressé, et un suivi sera nécessaire pour déterminer si le nouveau programme de dépistage a prévu à plus long terme l'impact sur les décès dus au cancer du côlon. De plus, ce fut l'analyse du premier tour du programme, qui a été conçu pour détecter les cas qui existent déjà dans la population. D'autres tours aura pour objectif de détecter de nouveaux cas, alors il n'est pas encore clair si le programme sera efficace à cette fin ainsi.
Les programmes de dépistage sont grandes, potentiellement coûteux et peuvent être difficiles à gérer. Il est donc extrêmement important de s'assurer que les programmes ont un impact sur le nombre de cas de maladie a été détecté et améliorer les résultats du traitement ultérieur. Bien que le dépistage de masse peut être coûteux et lourds en ressources, il convient de rappeler que le coût des programmes bien conçus et efficaces peuvent être compensés par la détection précoce des maladies qui sont difficiles, et encore plus coûteux, pour traiter à des stades ultérieurs.
Les programmes de dépistage sont complexes à évaluer, mais cette première série de résultats du programme de dépistage indiquent que le programme de l'Angleterre du cancer intestinal Le dépistage est la détection d'un nombre plus élevé de cancers du côlon de stade précoce que ce qui serait détectée autrement. Dans le temps, nous pouvons voir si cela se traduit par moins de morts et de meilleurs résultats sur le long terme.
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